Saison 3 - Printemps 2022
Après « la tragédie du dossard 512 », Yohann Métay s’excuse dans
Le sublime sabotage
Lapalud
Sam. 30
avril
Réservation par téléphone au 06 74 49 21 63 ou
Théâtre
Tout public de 8 à 63 ans
(sauf recul prochainde l’âge de la retraite)
Durée : 1h45
Tarifs :
Tarif plein: 15€
Tarif préférentiel : 12€
Distribution :
Conception et réalisation par : Yohann Métay
Équipe de recherche : Ali Bougheraba,
Florence Gaborieau, Paul-André Sagel
Technique : David Blondin
Création musicale : Cyril Ledoublée
© Fabienne Rappeneau
– Sabotage : n.m, action de ratage à base de procrastination et de fuite. Conséquence : présentation scénique d’excuses à genoux, sincères et véritables, non mais vraiment je vous jure que je voulais vraiment mais bon c’est mon chien qui a mangé mon cahier et puis, bref, je m’en veux de ne pas avoir écrit le chef d’œuvre génial que vous attendiez tant, mais c’est pas ma faute.
– Sublime : adj, qui élève vers la beauté. Qui rend poétique le misérable. Qui transforme une crotte de caniche en rubis.
– Sublime Sabotage : Grand mouvement épique et burlesque qui essaye de faire d’un échec pathétique une aventure comique. Ou l’inverse.
Après «LA TRAGÉDIE DU DOSSARD 512», Yohann Métay troque son lycra pour une plume et nous plonge dans le tourbillon de l’écriture de son nouveau spectacle. La pression sur les épaules et la trouille au bide, une spirale de la lose d’un type qui voulait penser plus haut que son QI.
Presse
Dans cette épopée comique de la création, Yohann Métay raconte sa quête éperdue du spectacle que tout le public attendrait, sa soif d’absolu, sa peur de rater. À chercher l’impossible, forcement il se perd. Mais l’échec pathétique se transforme en un spectacle à la fois burlesque et existentiel sur le cauchemar du temps qui passe. Sincère, inventif et bien écrit, ce « sublime sabotage » est d’une formidable liberté. Le Monde – Sandrine Blanchard
Photos
© Fabienne Rappeneau
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