Pierre est un panda
Cie Didascalies and Co

Mardi 17 mai 2022 – 10h et 14h30
Salle Gerard Sautel – Visan
Théâtre
CE1 > CM2
Durée : 1h10 + 30 minutes d’échange avec les artistes
Distribution :
Mise en scène et scénographie :
Renaud Marie Leblanc
Lumières : Erwann Collet
Costumes : Sabine Richaud
Régie vidéo et son : Virgile Capello
Régie lumières : Annaëlle Marsile-Meudun
Avec : Nicolas Guimbard, Sandra Trambouze
Maud Narboni, Valérie Trébor
© Renaud Marie Leblanc
Production Didascalies and Co
Co production LA TRIBU ( Théâtre Massalia, Théâtre Durance, Le Pôle, Théâtre de Grasse, Théâtre du Briançonnais, Aggloscènes, Scènes & Cinés Ouest-provence), Pôle des Arts de la scène Friche Belle de mai
Dans un langage simple et poétique, cette pièce aborde la question de la famille à travers les yeux de deux enfants d’une dizaine d’années.
Maria a du mal à trouver sa place dans sa famille parmi ses grands frères et son père qu’elle comprend de moins en moins. Heureusement il y a Pierre, son meilleur ami. Pierre est un petit garçon délicat qui subit les critiques de ses camarades parce qu’il n’aime pas jouer au foot, parce qu’il est un peu solitaire et… parce qu’il a deux mamans. Lorsque la famille de Maria s’en rend compte, elle interdit à Maria de fréquenter Pierre.
Une belle pièce dédiée aussi bien aux enfants qu’aux adultes qui nous amène à nous questionner sur le genre et la diversité familiale.
« La question de la représentation est au cœur du projet jeune public. Dans cette pièce à la dimension sociale, la valeur pédagogique réside dans la représentation, sur scène, des schémas parentaux. Par représentation, il s’agit d’entendre « montrer ». Le texte ne prend pas parti, mais donne à voir, simplement. C’est une des grandes forces du théâtre de représenter les choses, et de les faire exister dans le conscient des enfants. » Christophe Pellet – Auteur
Presse
« Pierre est un panda est une pièce écrite simplement, autour de dialogues qui sonnent vrai et de situations quotidiennes. Publié chez l’Arche en collection jeunesse, il a été inspiré à Christophe Pellet par les mouvements réactionnaires de la Manif pour tous : l’auteur s’est demandé comment l’attitude de rejet de la famille homosexuelle pouvait rejaillir sur un petit garçon élevé par deux femmes, et comment les interrogations sur le genre prenaient corps dans l’intimité d’une petite fille. Il est finalement question d’amour, qui ne résout pas tout… »
AGNES FRESCHEL Journal Zibeline
Photos
© Renaud Marie Leblanc
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